Les ouvrages - Romans et Essais

Un brin de fantastique, un ancrage historique, L'autre monde est pour vous...

Thomas vivait à l’orphelinat depuis toujours. Lors de ses seize ans, il allait découvrir qu’il n’était pas vraiment comme les autres et qu’il avait une importante destinée à accomplir…


La traversée de l'Atlantique, il ne suffit pas d'en rêver, il faut le faire ... 


Gène H., p'tit gars de la côte bretonne, a de l'eau salée dans les veines.  Il baroude sur les mers du monde avec en tête un rêve têtu : traverser l'Atlantique, à deux, en voilier.

Cette aventure aurait dû être le périple partagé par deux marins soudés.  Ce récit est l'histoire inhumaine de deux solitudes en survie, un huis clos hors norme.

Ce que les lecteurs en pensent...

Charles 
Faire Co naviguer deux hommes, c'est risquer une rhétorique où un "il" en côtoie un autre ; si cela (en plus d'une typographie perfectible) ajoute une difficulté de lecture, les confusions qui peuvent en résulter ajoutent un trouble qui sert l'ambiance. Une paranoïa diffuse contamine le récit et intoxique le lecteur. Jord parvient bien sûr à rester le personnage central, celui par qui l'aventure tire sa raison d'être, celui que l'on connaîtra le mieux. Ce parti pris est salutaire et donne une ossature à ce journal. Point besoin d'être marin pour prendre la mesure des dangers. Le vocabulaire nous installe en mer et de plus en plus au large... La tension s'accroît au fil des pages, des erreurs et autres prises de conscience. Sur cet océan ardent, le style nous offre des îlots de poésies et d'humanité et les quelques lyrismes sont ramenés sur terre par un pragmatisme viril qui assoit le récit. L'auteur écrit comme il aurait raconté. On devine une vocation cathartique plus qu'une prétention littéraire et cela fait entrer le lecteur dans un intime libre et authentique. Un ouvrage à lire assurément. 


MorTh.
Ce qui m’a sauté aux yeux en commençant la lecture, c’est le côté exutoire que représente le fait de jeter l’encre sur le papier. Si l’écriture est brute, et que je préfère habituellement un style plus rond, je lui reconnais une grande sincérité. Le ’’poing’’ de vue raisonnait dans ma boîte crânienne par le prisme vocal de l’auteur. Le réel venait percuter ma sensibilité, parfois d’un peu trop près.
Je ressentais le goût amer de l’écorché, le goût de cet être entier, enfermé dans un huis clos Sartrien, où l’enfer serait encore et toujours l’autre. Alors je me suis mise à courir, hors d’haleine, sur les lignes, pour parvenir à l’issue, à libérer le souffle, de l’oppression. (Smiley)
Merci de la confiance que tu me portes pour la lecture de ton livre.
2)Et oui, c’est une écriture qui te ressemble et qui est très vécue.
C’est ce que je trouve intéressant d’ailleurs, on y est tellement que j’avais l’impression d’être sur le bateau ;)
Évidemment que les retours vers les souvenirs et la contemplation donne une respiration et un rythme au récit.

CH Morice

A peine mis le pied sur le bateau, que j’ai été embarqué à travers l’Atlantique. Comme ce voyage, d’une traite, sans escale, je l'ai dévoré. Dense, puissant et incroyable périple. La beauté océanique, les éléments, les animaux, sont décrits de belle manière. Malgré la dureté du récit, la tendresse et l’humour nous aident à tourner certaines pages. Cela nous donne envie de connaître certains moments d’harmonie, avec cet univers.  

Et vous savez écrire…  



 


Drame familiale prenant corps dans une pièce d'une touchante réalité...


Sophie, Jean et Nicolas viennent d'enterrer leur mère et se retrouvent dans la maison familiale.  Comme toujours, l'héritage, l'histoire de chacun, les relations tissées​ ou brisées dans le passé vont refaire surface en dévoilant peut-être des tabous, des secrets ou en tout cas des émotions fortes parfois surprenantes pour cette fratrie qui se croyait si proche. 


Cette histoire, c'est la vie. La vie de tous puisque c'est de famille, de fratrie, de passé, de trahisons, de secrets, d'amours dont il est question.


Comment se dépasser, dépasser ses peurs, dépasser sa zone de confort?  Il faut oser ses limites ...

 

Essai en toute dernière phase de correction.  A découvrir bientôt...


Les ouvrages - Bandes Dessinées

D'une légende locale comme il en existe tant, un premier personnage était né...


faune. nom masculin

Divinité champêtre, à l'image du dieu grec Pan (corps velu, oreilles ​pointues, cornes et pieds de bouc).

Dans sa version Franchimontoise, le faune se nomme Verbouc. Il habite le château d'une petite localité des Ardennes belges.  il garde un trésor et ne le quitte que pour rejoindre d'autres personnages de légendes se réunissant au cœur de la forêt.  

Jeanou l'a affublé d'un prénom, Raoul et de légendes de contes, il est devenu légendes de papier.  Découvrez ses premières aventures dans ce carnet illustré.


Un défi comme notre héros les aimes, vivez le Verbouc sous toutes ses coutures...

Il était une fois, un dessinateur, Jake Parker, qui lançait un défi à tous ses pairs, publier un nouveau dessin tous les jours du mois sur un thème différent.  Et pas n'importe quel mois, un mois de 31 jours, celui d'octobre.  Le challenge Inktober était né.  Le dessinateur des aventures du Verbouc, Jeanou, a relevé le défi.  Dans ce carnet, découvrez les 31 dessins illustrant les thèmes de l'année 2019.


D'un héros légendaire, c'est toute une équipe de légendes qui est née...

Notre Faune de légende, Raoul Verbouc, s'est entouré d'une équipe hors du commun. Ensemble il forme une "dream team" qui se lance dans toutes les aventures qui en valent la peine.

Leur point de chute est un château qui domine le petit village de Mont-Franchi.  Suivez leur première aventure dans ce carnet de 32 pages.


Le collector de légendes...

Au vu du succès des carnets illustrant les aventures de Raoul Verbouc, les trois ont été réunis dans une BD collector qui les regroupent.  

Le petit monde de Mont-Franchi, c'est donc la compilation de "Entretien avec un Verbouc", de "Le Verbouc Illustré", et de "Les légendes de Mont-Franchi".  Le format est celui d'un BD cartonnée de 48 pages. 


Le Serment de Perrault

Dernier né des aventures de Raoul Verbouc et ses amis légendaires, Le Serment de Perrault s'inscrit pleinement dans la continuité de la "BD Franco-belge" de la belle époque.  Sept années de travail ont été nécessaire pour construire ce bijou de précision tant dans le verbe que dans le trait de crayon.  Une BD artisanale, une aventure palpitante, un dessin tantôt réaliste, tantôt fantastique, des personnages de légendes, un humour omniprésent, des références à tous le 7ème art, Le Serment de Perrault, c'est 64 pages à découvrir absolument ...